Comme ces menaces ne sont pas flagrantes, elles déclenchent rarement un débat et une réflexion forte. Trop peu de gens se sont questionnés en janvier/février sur le risque que nous prenions en ignorant ce virus. À quoi bon perdre du temps à y réfléchir quand on n’est même pas certains que ce risque est bien réel ? Je suis moi aussi tombé dans ce piège. Il est maintenant clair qu’ignorer ce risque à été une décision désastreuse. (2/3)
Notre erreur collective doit être l’occasion d’apprendre, non seulement pour la crise sanitaire présente et les prochaines, mais aussi pour les autres « menaces ambigües » qui planent. (3/3)