Edsger Dijkstra, pionnier de la recherche sur les systèmes distribués et auteur du fameux algorithme de calcul de plus court chemin, en 1969 à une conférence de l’OTAN sur l’ingénierie logicielle.
(Voir http://homepages.cs.ncl.ac.uk/brian.randell/NATO/N1969/.)
J’ai profité de cette belle après-midi pour visiter Bellecour, le Vieux-#Lyon et arpenter la colline de Fourvière, lieu de fondation de la ville en −43.
Un outil en ligne de commande et une interface web permettent de consulter et modifier les bogues. On peut imaginer (rêver ?) que dans l’avenir les logiciels de forge utilisent ce système pour stocker les informations directement au sein du dépôt. Ainsi la migration serait automatique d’un hébergeur à l’autre.
Petite particularité : chaque équipe concurrente ne dispose que d’un ordinateur pour trois et est seule, sans accès à Internet, pour l’intégralité du concours. L’histoire de l’ICPC remonte aux années ’70 ce qui en fait l’un des plus vieux concours d’informatique. À l’époque, les participants programmaient en Fortran sur des cartes perforées…
Le SWERC est une épreuve régionale qualificative pour l’#ICPC durant laquelle, pendant cinq heures, des candidat·e·s s’attaquent en équipes de trois à une dizaine de problèmes d’algorithmique de difficulté variable. Pour résoudre un problème, une équipe doit comprendre quels principes lui sont sous-jacents, concevoir un algorithme pour le résoudre efficacement et l’implémenter.
Ce week-end, j’ai eu l’honneur de pouvoir faire équipe avec deux amis au concours de programmation compétitive #SWERC où nous avons représenté l’université de Montpellier. Il était organisé par Telecom Paris sur leur nouveau campus de Palaiseau au sud de Paris. Pour cette troisième participation à l’épreuve, nous sommes parvenus à nous hisser à la 45ᵉ place parmi les 95 équipes concourantes.
Chercheur doctorant en informatique, passionné par l’enseignement, le logiciel libre, la linguistique et la typographie.